L’origine de la colère
Elle est multiple, explosive ou froide, fréquente ou ponctuelle, elle n’épargne personne. Cette émotion négative perturbe notre équilibre alors autant savoir la maîtriser.
- la plus fréquente est celle qui prends racine dans une culture familiale , elle s’incruste en nous jusque devenir quasiment une part de notre personnalité.
- la fatigue morale ou physique
- le sentiment d’injustice
- l’autoritarisme et l’arrogance . Ce mettre en colère exprime parfois le désir à vouloir tout contrôler, tout posséder, ne pas supporter la contestation.
Comment dominer la colère ?
Certains explosent dans des colères puissantes, d’autres les intériorisent tout en les subissant. Il existe des colères utiles et compréhensibles. La plupart des colères ne sont qu’une manière inadaptée d’exprimer une frustration. si le problème n’est pas réglé, la colère reviendra et souvent encore plus forte.
Souvent la colère comment à cause une simple irritation qui se degré jusqu’à l’exaspération. La colère n’arrange rien mais sur l’instant elle soulage. Cette satisfaction est de courte durée, car le problème reste entier.
Après coup, il faut analyser notre attitude, se dire que la réaction à été démesuré par rapport à la contrariété et que laisser exprimer sa colère ne résout pas le problème qui l’a engendrée.
Il faut considérer la crise de colères comme un luxe, et que l’on ne peut se le permettre trop souvent. la colère occasionne une dépense d’énergie excessive sur le moment. Le plus perdant n’est pas celui qui subit la colère, mais celui qui la commet.
La colère, les crise de nerfs et le stress peuvent engendrer de l’hypertension, des problèmes cardiaques, des migraines et des ulcères gastriques
La colère n’est ni seine ni bonne conseillère et transforme un petit problème en plusieurs grands problèmes
Savoir canaliser la colère.
Pour la limiter, mieux vaut la contrôler le plus en amont possible avant qu’elle ne dégénère en violence verbale ou geste agressif. Plus on agit tôt, mieux on la canalise.
Dés que vous vous sentez irrité, prenez de la distance vis à vis de vous même et essayez de comprendre la situation en observant :
- que ce passe t’il ?
- Pourquoi suis je dans cet état ?
- cela vaut-il la peine de dépenser autant d’énergie ?
- où est le véritable problème ?
- qu’est ce que je reproche à l’autre ?
Pensez aussi aux conséquences
- la perte de temps pour vous
- la peine infligée à l’autre
- des regrets
- des conflits
Dominer sa colère implique de se sentir responsable de sa vie et de ne pas faire porter cette responsabilité aux autres ou à la vie elle-même. Faire preuve de maturité c’est agir ou lieu de réagir.
La colère est souvent une forme d’intolérance, le désir d’affirmer une certaine autorité, demandez vous pour quelle raison vous vous sentez menacé, méprisé, insulté.
La colère est souvent une conduite d‘échec pour ne pas faire face au problème. Se disputer avec tout le monde signifie que l’on est en conflit avec soi même
Le colérique doit observer des règles d’hygiènes :
- dormir suffisamment
- respecter les 3 repas à heures dites normales
- proscrire l’alcool
- éviter les surmenages
- pratiquer un sport
- faire des exercices respiratoires et de relaxation
Lorsqu’une personne est toujours en colère elle finit par ne plus être entendu.
SOURCE : Jacob AZEROUAL » Couple, clefs pour le réussir «
